L’agriculture verticale est-elle la réponse de l’hiver au coût élevé des produits importés ?

23 janvier 2024

Close

Murray Coleman commente dans le Globe and Mail son regard sur l’industrie de l’agriculture verticale, où les promoteurs affirment que ces fermes peuvent fournir des légumes verts toute l’année aux Canadiens à des prix qui concurrencent favorablement les produits cultivés à l’étranger, aidant à maintenir les coûts d’épicerie stables et rendant le pays moins dépendant des aliments importés.

M. Murray affirme que le gouvernement appuie l’agriculture verticale en Colombie-Britannique, en Alberta et au Québec. Un exemple est le Partenariat canadien pour une agriculture durable (PAC durable), une entente quinquennale de plusieurs milliards de dollars entre les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux qui fournit un financement qui comprend un soutien pour l’adaptation de l’équipement robotique utilisé dans les fermes verticales.

Il ajoute que les agriculteurs verticaux doivent encore faire face à une série de problèmes réglementaires et environnementaux avant de pouvoir s’installer. « Il y a des règles d’utilisation des terres, des lois et règlements locaux et des questions de zonage, comme celle de savoir si une ferme verticale devrait suivre les règles d’un développement typique à occupation élevée. Une autre question importante est la consommation d’énergie. Contrairement aux serres, qui dépendent davantage de la lumière naturelle, les cultures agricoles verticales inondées de lumière provenant d’ampoules LED peuvent être économes en énergie, mais elles nécessitent toujours de l’énergie électrique.

Les abonnés du Globe and Mail peuvent lire l’article complet here.

Key Contact

Liens connexes



View Full Mobile Experience