David Little est présenté sur Lexpert discutant de l’obligation de bonne foi en common law des contrats dans les différends de construction d’infrastructure.
Les avocats pouvaient autrefois supposer que si le contrat comprenait des éléments tels que des clauses de discrétion ou des droits de renouvellement, ils pouvaient informer les clients qu’ils avaient le droit d'« agir de manière discrétionnaire et intéressée », dit David.
Maintenant, non seulement les avocats lisent les mots et les passent en revue avec le client, mais ils doivent également poser des questions sur la conduite du client, dit-il. Parfois, cela signifie divulguer une position ou un point de vue qui pourrait autrement être trompeur. « C’est un peu plus difficile du côté des affaires de donner des conseils à ce sujet. »
Lorsqu’il s’agit de différends, l’obligation de bonne foi peut également exiger « plus de travail et d’analyses juridiques », dit Little. « Nous ne savons pas très bien jusqu’où cela va. Mais nous savons que c’est maintenant fermement ancré dans la common law.
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