Luke Morrison commente dans Avocat canadien sur les raisons pour lesquelles l’allégement de la force majeure n’est pas courant dans le secteur de l’énergie, malgré le ralentissement du pétrole et la pandémie de COVID-19.
« Les entreprises du secteur de l’énergie, dans l’Ensemble du Canada, reconnaissent toujours ici qu’aucun membre de la chaîne de la production au consommateur n’est à l’abri ou n’est pas touché », dit M. Morrison. « Il y a toujours un courant sous-jacent d’une vision pragmatique à long terme et d’une collaboration entre les producteurs, les fournisseurs et les partenaires de coentreprise. Si les parties commencent à invoquer des clauses de force majeure et d’autres clauses d’allègement à tous les niveaux, je pense qu’il est reconnu que cela a un effet d’entraînement et qu’il ira à l’encontre de la santé à long terme et du dépassement de la situation actuelle. «
Depuis le dernier mois d’appels que j’ai reçus et de réunions que j’ai eues, il y a une série de résilience ainsi que l’anxiété et je pense que beaucoup de collaboration et d’optimisme se produisent encore.