Le Canada impose des sanctions économiques contre la ChineLe 22 mars 2021, le Canada a imposé Mises en œuvre en coordination et en solidarité avec les sanctions imposées par les alliés du Canada, les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Union européenne, ces nouvelles sanctions font suite à Voici un aperçu des détails des nouvelles sanctions et de ce qu’elles signifient pour les entreprises canadiennes qui traitent en Chine. Nouvelles sanctions canadiennes contre les autorités chinoisesÀ compter d’aujourd’hui, le Canada a imposé une interdiction des opérations et un gel des avoirs aux personnes inscrites en vertu de la Loi sur les mesures économiques spéciales et du Règlement sur les mesures économiques spéciales visant la République populaire de Chine. Il est interdit à toute personne au Canada (y compris les particuliers et les personnes morales) et à tout Canadien à l’extérieur du Canada (y compris les citoyens canadiens et les sociétés ou entreprises canadiennes ayant des activités à l’étranger) de participer, de causer, de faciliter ou d’aider directement ou indirectement aux activités suivantes :
Un certain nombre d’exceptions aux interdictions ci-dessus sont énumérées à l’article 4 du Règlement. Les Canadiens peuvent, par exemple, recevoir des paiements d’une personne inscrite qui sont dus en vertu d’un contrat conclu avant que la personne ne soit inscrite, ou obtenir des services financiers qui permettent à une personne inscrite d’obtenir des services juridiques au Canada relativement à l’application de l’une ou l’autre des interdictions de sanctions. Les Canadiens peuvent également continuer d’avoir des relations avec une personne inscrite aux fins du remboursement du prêt et de l’exécution et de la réalisation de la garantie de remboursement du prêt, lorsque le prêt a été conclu avant que la personne ne soit inscrite ou lorsque le bénéficiaire du prêt n’est pas une personne inscrite. Les quatre Chinois nouvellement sanctionnés, qui sont également interdits de territoire pour entrer au Canada en vertu de l’alinéa 35(1)d) de la Loi sur l’immigration et la protection des réfugiés, et la seule entité, sont les suivants : Particuliers :
Entité :
Il convient également de noter que le Canada a choisi d’utiliser la Loi sur les mesures économiques spéciales (LMES), qui impose des sanctions par pays, pour les nouvelles sanctions économiques contre la Chine plutôt que pour la Loi sur la justice pour les victimes de dirigeants étrangers corrompus (Loi Magnitski). En revanche, le previous U.S. sanctions liées au Xinjiang et sanctions supplémentaires contre les responsables chinois annoncées le 22 mars 2021, ont été imposées en vertu de la loi américaine Magnitski. Le choix par le Canada de l’ACES plus souple et axée sur le pays comme mécanisme juridique de ces sanctions envoie un message politique au gouvernement de la Chine et soulève la possibilité que la portée des sanctions canadiennes contre la Chine puisse être élargie à l’avenir, y compris pour aborder des questions de préoccupation plus vastes que la situation des droits de la personne au Xinjiang. Initiatives plus vastes pour l’intégrité de la chaîne d’approvisionnement canadienneComme il a été mentionné, le 18 janvier 2021, le gouvernement du Canada a annoncé plusieurs mesures pour répondre à ses préoccupations concernant les rapports et les preuves de violations des droits de la personne, y compris le recours au travail forcé au Xinjiang. Par exemple, Affaires mondiales Canada a publié un Cela dit, les mesures annoncées en janvier étaient relativement limitées et largement conformes aux politiques gouvernementales existantes (p. ex., réitérer l’interdiction d’importer des biens produits avec du travail forcé au Canada, et informer que les entreprises qui demandent des permis pour exporter certaines technologies ou certains services au Xinjiang qui pourraient être utilisés pour faciliter la surveillance gouvernementale, la répression, la détention arbitraire ou le travail forcé seront confrontées à « Qu’est-ce que cela signifie pour les entreprises?Ces nouvelles sanctions économiques pourraient signaler la possibilité d’un élargissement des restrictions canadiennes contre la Chine à l’avenir. Les entreprises ayant des relations en Chine devraient :
De façon plus générale, les entreprises ayant des chaînes d’approvisionnement et des relations d’affaires au Xinjiang devraient évaluer leurs risques et s’assurer qu’elles disposent de renseignements adéquats, y compris par l’exercice de droits d’audit et de clauses contractuelles, pour atténuer les risques et mener toutes les activités commerciales conformément à leurs obligations en vertu de la loi canadienne. Si vous avez des questions au sujet des nouvelles sanctions économiques du Canada contre la Chine ou des risques de la chaîne d’approvisionnement, veuillez communiquer avec le groupe de Bennett Jones International Trade & Investment group. Auteur(e)s
Traduction alimentée par l’IA. Veuillez noter que cette publication présente un aperçu des tendances juridiques notables et des mises à jour connexes. Elle est fournie à titre informatif seulement et ne saurait remplacer un conseil juridique personnalisé. Si vous avez besoin de conseils adaptés à votre propre situation, veuillez communiquer avec l’un des auteurs pour savoir comment nous pouvons vous aider à gérer vos besoins juridiques. Pour obtenir l’autorisation de republier la présente publication ou toute autre publication, veuillez communiquer avec Amrita Kochhar à kochhara@bennettjones.com. |